Paul Simonon de The Clash casse sa basse en plein concert

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Paul Simonon et sa Basse fender Precision – 1979

Basse Paul Simonon The Clash

Paul Simonon: Né un 15 décembre 1955. Bassiste de The Clash mais également artiste peintre, on lui doit notamment la chanson Guns of Brixton sur le célèbre double London Calling! Un clin d’œil avec en corollaire le souvenir d’un concert qui laissera quelques traces dans l’histoire du groupe. C’est en effet lors d’un concert au Palladium de New-York, le 20 septembre 1979 que Paul Simonon dans la furie électrique de l’instant détruit sa Basse Fender Precision sur scène. Il déclarera par la suite qu’il aurait mieux fait de détruire sa basse de rechange, bien moins à son goût…

L’oeil de Pennie Smith

La célèbre photographe Pennie Smith, connue pour ses instantanés dans le milieu Rock, immortalise l’instant. (Elle a photographié les Stones, Led Zep’, les Who, U2, les Jam entre autres…).

La production utilisera cette photo, malgré l’avis de Paul Simonon, pour la pochette de l’un des monuments discographique du Clash: London Calling -1979.

A lire également : London Calling a 40 ans ! 

L’objet en question – Fender Precision de Paul Simonon

Basse de Paul Simonon

La Basse de Paul exposée au Rock and Roll Hall of Fame à Cleveland (Ohio).

London Calling

La plus part des compos du Clash sont signées de Strummer ou Jones. Pourtant les lignes fluides, quasi reggae de Paul Simonon, ont certainement fourni le ciment nécessaire aux fondations incroyablement percutantes et novatrices de London Calling.
Respect et considération pour l’œuvre musicale de cet autodidacte éclairé: Mr Simonon.

Auguste Marshal

Citations Paul Simonon

A l’époque mes penchants esthétiques s’exprimaient à travers les fringues. Cela a contribué à rendre le groupe accessible – 2002.

Je voulais être Pete Townshend, le mec qui lance ses bras dans tous les sens et qui saute en l’air.

Les années 80 me sont restées en travers de la gorge, je crois qu’elles ne laisseront aucune trace. C’était une décennie affligeante placée sous le signe du matérialisme. Les eighties sont pour moi comme un long tunnel sans vie, un mauvais rêve dont je n’aurais pas le moindre souvenir à mon réveil.

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