Bill Hurley – Angel to Memphis – A Tribute to Elvis

2
4158
POP CULTURE RADIO La Culture POP a enfin trouvé sa RADIO !
Genres : radio
La culture se partage !

Bill Hurley – Un album en hommage à Elvis.

bill-hurley
Bill Hurley – Angel to Memphis – A tribute to Elvis

La quadrature du cercle…

On peut retourner le problème dans tous les sens, critiquer, se moquer, nier l’évidence: sans Elvis Presley, il n’y aurait RIEN en matière de Rock! Le paso-doble, le musette, la bourrée auvergnate règnerait en maitre sur les ondes. Bon, j’exagère à peine.
Tous les Rockers ont, un jour ou l’autre, rendu hommage au King , soit au travers d’un titre en fin de concert, soit avec un titre au beau milieu d’un album. Rares sont ceux qui ont consacré UN ALBUM ENTIER à leur idole.
Bill Hurley (des INMATES of course!) est de ceux-là.

Bill Hurley – (You’re so sqaure) Baby I don’t care

1988 – The Inmates – Meet the Beatles

Genèse de l’histoire: en 1988 les Inmates sortent l’album Meet the Beatles, reprennant en Live les standars des Fab Four. Ce que l’on sait moins, c’est que l’enregistrement de cet album fut un calvaire pour le chanteur Bill Hurley «réfractaire de toujours aux harmonies des créateurs de Girl» . Lui, son truc, c’est Elvis, tout Elvis, du jeune Hillbilly Cat de chez Sun aux concerts de Las Vegas.
En 1988, il s’enferme dans un studio londonien, s’adjoint les services de Peter Gunn -Inmates – du producteur de Depeche Mode, d’un musicos de Dr Feelgood, vit en ermite plusieurs mois…

Malheureusement, une fois l’album terminé, et malgré ses qualités, personne ne veut le «sortir» et c’est seulement 3 ans plus tard qu’on se décide à réparer cette faute grave. Mais, horreur, les bandes ont été effacées, le studio n’ayant pas été payé, plus de trace de cet album mort-né…

Heureusement, les Dieux du Rock n roll doivent exister: plusieurs semaines après ce triste constat, on retrouve «non pas les 24 pistes à plat de l’enregistrement, mais les bandes de mixage: soit tous les morceaux finis, équalisés, prêt à l’emploi». Mais du coup le studio veut se faire payer les bandes, près de 40 000 euros. On ne sait par quels subterfuges la somme fut trouvée, mais l’album finira par voir le jour. Ainsi, Bill Hurley réalisait son rêve de gosse. God save the King!

Etienne FLT

Florilège… just for pleasure.

Bill Hurley – Promised Land

Bill Hurley – Burning Love, repris également par les Fine Young Cannibals (entre autres…)

Et pour finir, le slow qui tue, un titre de Gilbert Becaud (si, si !!) que le King avait repris : Let it be me

Did you enjoy this article?
Inscrivez-vous afin de recevoir par email nos nouveaux articles ainsi qu'un contenu Premium.

2 Commentaires

Laisser un commentaire